BENOIT DE SAINT-PIERRE

VIANNEY CONTE-BOURGES

CAMILLE DEMICHEL

Etudiants
Paris Dauphine

ICCF1 et 3

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Benoît, Vianney, Camille, vous êtes tous les trois étudiants à Paris Dauphine. Et tous les trois, indépendamment, avez souhaité participer à la formation-certification ICCF@HEC Paris. Il y a pourtant à Dauphine des enseignements de grande qualité. Pourquoi compléter, avant même la fin de vos études ?

Benoit : J’étais en terminale quand j’ai suivi le MOOC Analyse financière de M. Quiry ! J’avais trouvé cela passionnant, donc dès que j’ai entendu parler de l’ICCF, je m’y suis intéressé. J’ai donc passé l’ICCF très jeune, avant même d’aborder la moindre notion de finance d’entreprise à Dauphine.

Cela m’a tout d’abord permis de réaliser que c’était vraiment cela qui m’intéressait et donc de pousser dans cette voie.

Ensuite, à Dauphine, beaucoup de masters, parcours internationaux sont sélectifs. Avoir l’ICCF me permet de me démarquer des autres candidats.

La troisième raison, est celle des stages. Il est plus facile d’en trouver et de réaliser des missions intéressantes. Enfin, la marque HEC Paris et le réseau que l’on intègre finissent de vous convaincre.

Camille : Premièrement, les sujet abordés dans la certification, à savoir l’analyse financière, l’évaluation de sociétés et les choix d’investissements et de financements, font partie du programme de master et n’ont pas encore été traités ou alors de manière très succincte.

Ce programme qui est donc, comme pour Benoît, une initiation, est très attirant par le fond et par la forme. Il offre un panel à la fois large et complet de ce qui peut être considéré comme le noyau dur de la finance d’entreprise. Le format vidéos / quiz / cas pratiques permet d’apprendre de manière différente. En se détachant du modèle classique des cours magistraux reçus à l’université, la qualité des cours du certificat a sans cesse fait croître mon intérêt pour la matière et m’a toujours donné envie d’aller plus loin.

Enfin, la méthode pédagogique de Pascal Quiry est passionnante, la théorie est toujours illustrée par des exemples réels : un sujet qui peut paraître compliqué s’éclaire de lui-même, sans que l’on ait l’impression de fournir un effort intellectuel.

Vianney : Mon cursus est un peu différent puisque je suis étudiant en master de droit des affaires. Ce domaine du droit a vocation à poser un regard juridique sur des problématiques économiques. Il m’a donc semblé important d’acquérir ces notions de finance d’entreprise, afin de comprendre plus en détail les sujets que je suis amené à traiter.

Quelle est la partie du cours qui vous a le plus intéressés ?

Vianney : Je considère ce cours comme un ensemble, dans lequel chaque partie joue un rôle important. Ceci étant dit, j’ai particulièrement apprécié la partie du cours consacrée à la valorisation d’entreprises.

Les applications numériques proposées, notamment dans le cas final, m’ont permis d’assimiler le cours en douceur, en mettant en oeuvre les méthodes enseignées.

Benoit : Le programme est une suite logique et il n’est pas possible de suivre un cours sans avoir compris le précédent.

Cependant la partie du cours qui m’a le plus intéressé est celle sur le choix d’investissement et de financement : il est l’aboutissement des autres.

Camille : Tout se tient, et l’histoire d’une entreprise se raconte en trois parties, celles du programme. Pour ma part c’est l’évaluation qui m’a le plus intéressé. L’évaluateur dispose de plusieurs méthodes, plusieurs chemins de réflexion afin d’approcher au plus juste la valeur d’une entreprise.

J’ai en tête l’image de l’artiste ou du scientifique qui chercherait à tendre vers une perfection ou une vérité, sans jamais vraiment pouvoir l’atteindre. Cette partie du cours amène à s’intéresser au futur, à l’incertain de la réalité économique. On procède alors à la construction de prévisions à l’aide des mathématiques et de l’analyse de la situation de l’entreprise au sein d’un monde économique interdépendant, dans lequel les facteurs d’influence sont infinis et imprévisibles.

Cette partie est donc très stimulante car elle fait appel à toutes sortes de savoirs d’ordre mathématiques, macro/micro économiques, stratégiques etc…

Pratiquement, vous destinez-vous à la finance, et quels sont les bénéfices que vous tirez de l’ICCF ?

Camille : Ce cours m’a passionné et me donne envie de continuer à apprendre et de travailler sur le sujet. Il m’a permis de prendre de l’avance sur le programme de master de l’année prochaine, et de développer une certaine vision de la finance qui ne m’a pas encore été donnée à Dauphine.

Je compte poursuivre mes études sur ce sujet, et à plus long terme est intéressé à travailler dans le “private equity” ou les “transactions services”.

Benoit : L’ICCF c’est d’abord un cours qui m’a passionné, qui m’a donné une vraie envie de travailler dans la finance. 

Cela m’a également permis de développer mon réseau, chose très importante aujourd’hui. C’est vraiment un gros plus de cette formation, avoir une communauté vivante d’anciens, connus via internet ou en présentiel.

Ensuite pour les stages et les sélections, où que ce soit, c’est un réel avantage d’avoir validé l’ICCF. Même si le diplôme continue à faire beaucoup pour les entreprises, on sent que les lignes bougent et avoir fait l’ICCF permet de faire des choses plus intéressantes.

Vianney : Je souhaite réaliser un doctorat en droit des sociétés et me spécialiser dans ce domaine en alliant enseignement, recherche et pratique. Je ne me destine donc pas à la finance.

Ceci étant dit, je suis convaincu que cette formation sera bénéfique pour ma pratique du droit des sociétés car elle me permettra de comprendre les enjeux financiers des problèmes juridiques que je serai amené à traiter.

Et pour la suite ?

Benoît : Pour le moment je continue mes études à Dauphine, mais je pense aller plus loin avec des cours en ligne plus approfondis (la suite de l’ICCF). 

Camille : Je vais commencer le programme Strategy @ HEC Paris en mai prochain, qui me semble indispensable pour développer une vision analytique des réalités macro / micro économiques qui permet de prendre des décisions qui font sens et de développer un raisonnement construit et continu.

Et pourquoi pas un parcours en Valuation, afin d’approfondir, car une chose est sûre, on n’a jamais fini d’apprendre !

Vianney : J’envisage de réaliser d’autres formations en finance pour approfondir mes connaissances en la matière. Notamment, je serais intéressé par des formations thématiques aux différentes pratiques de corporate finance (M&A, Private Equity, IPO, LBO, etc.).