FREDERIQUE GIRARD

AUDREY DEBATISSE

CAROLINE ROSTAIN DE LAUBRIERE

Expatriées à Buenos Aires

ICCF3

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Frédérique, Audrey, Caroline, vous êtes toutes les 3 expatriées à Buenos Aires, pouvez-vous présenter chacune rapidement votre parcours ?

Caroline : Nous avons toutes les trois des parcours très différents : j’étais Finance Manager à Amsterdam…

Frédérique : J’ai été auditeur avant de devenir DAF de Presstalis.

Audrey : Et moi responsable du contrôle de gestion chez Orange, après avoir fait 6 ans d’audit financier.

Frédérique : Un même constat nous a rapprochées : nous étions toutes les trois expatriées en Argentine, à 10.000 km de nos anciens jobs, et nous ne pouvions supporter plus longtemps le fait de perdre notre expertise et surtout de ne pas continuer de faire grandir nos connaissances et de développer nos compétences dans le domaine de la finance.

Vous avez décidé de vous inscrire ensemble à la formation ICCF, qu’est ce qui a motivé ce choix ? Qu’attendiez-vous d’un tel programme ?

Frédérique : Plusieurs éléments ont largement contribué au choix de cette formation ICCF plutôt qu’une autre.

Tout d’abord, il faut reconnaître que le label HEC a attiré notre attention ainsi que le certificat délivré au terme des 6 mois de formation. Nous étions ainsi rassurées sur la qualité du programme.

De plus, la durée nous convenait parfaitement. Une formation de 2 ou 3 mois ne suffit pas à asseoir des bases solides. ICCF proposait une durée longue de formation dont le début et la fin collaient exactement au calendrier de l’hémisphère sud où nous vivons.

Audrey : Par ailleurs, la formation ICCF se distingue des autres formations à distance prospectées sur Internet par son rythme, son sérieux et sa rigueur d’organisation. Les cours ont un rythme hebdomadaire, les examens sont quant à eux trimestriels et annuels. Les vidéos de Pascal Quiry sont vivantes, les supports de cours se sont avérés passionnants, tous les exercices (issus de cas concrets d’entreprises réelles) sont notés, nous motivant ainsi à maintenir un rythme de travail régulier.

Caroline : De plus, les interactions sont possibles sur la plateforme lors des séances live hebdomadaires non seulement avec le professeur mais aussi avec le modérateur Eric et avec les autres étudiants. En bref, les trois femmes que nous sommes, habituées à travailler en groupe et de manière très régulière, à croître au sein d’une entreprise et à être entourées de collègues, ont vu cette formation à distance comme la solution idéale à leurs exigences de formation.

Avez-vous pu régulièrement vous retrouver pour travailler ensemble ? Comment se passaient vos “séances de travail”?

Audrey : Nous avions chacune des obligations de vie différentes, un rythme de travail qui nous était propre. Aussi, nous échangions par whatsapp et par email dans la semaine pour partager nos points de blocage sur le cours et les exercices et ainsi nous entraider.

En revanche, pour chacune des études de cas, nous travaillions d’abord une dizaine de jours chacune de notre coté, puis nous organisions une réunion physique au domicile de l’une ou l’autre pour entamer notre séance de brainstorming sur les difficultés rencontrées.

Concrètement, en quoi cette formation va aujourd’hui ou demain vous servir ? Quels sont vos projets à plus ou moins long terme ?

Caroline : Je commence à mettre en pratique ce que j’ai appris ou revu dans mon nouveau job à Buenos Aires !

Frédérique : Je déménage à Manille, et suis convaincue que l’ICCF m’aidera à trouver un travail en arrivant.

Audrey : Je rentre à Lyon, l’ICCF sera très certainement un atout pour mon “retour”.

La formation nous a en effet permis d’asseoir de façon durable nos compétences, mais a démontré aussi notre capacité de travail. Et elle nous donne confiance en nous.

Un mot pour finir ?

Audrey : Bien plus qu’une expérience d’apprentissage théorique “pur et dur”, cette formation a été une expérience humaine très enrichissante : nous avons pu tisser des liens amicaux entre nous trois, nous avons humblement pris connaissance de l’existence d’autres personnes aux parcours atypiques désirant comme nous se surpasser.

Frédérique : Loin de nous sentir isolées, nous nous sommes senties parties intégrantes d’un projet commun, partageant les mêmes passions, les mêmes difficultés, avec les mêmes échéances que tous les autres “étudiants”.

Caroline : Bravo pour la création de cet esprit de corps pour cette promotion . Et tout simplement : merci.